Les Gilets jaunes n’ont (selon la légende qu’ils colportent et qu’entérinent les galo-gauchistes ) ni représentants, ni dirigeants, ni porte-parole. Par contre, il est difficile de nier qu’ils ont des partisans zélés, des avocats de tous les bords politiques voire des spécialistes des procès d’intention. Le texte suivant s’adresse à l’un d’eux, Jacques Wajzstejn, de la revue Temps critiques que j’appellerai de temps en temps simplement « Jacques » puisque nous entretenons des liens d’amitié depuis quelques années.