lundi 29 octobre 2018
Aux Etats-Unis, comme en France de manière plus récente, la « théorie » dominante est celle d’une prétendue « blanchisation » des Juifs. Cette thèse permet à des militants peu rigoureux et peu informés de nier, ou de minorer au maximum, l’existence de l’antisémitisme (aux Etats-Unis comme ailleurs). Cette cécité affecte particulièrement les milieux antiracistes, hostiles à « l’islamophobie », d’extrême gauche, libertaires, et les universitaires de gauche.