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Limites de l’antisionisme (5 et 6) : A propos des comparaisons absurdes défendues par "La Banquise" sur la question juive et le sionisme

lundi 12 novembre 2007

Dans une note d’un article consacré à Norman Finkelstein et à l’expression crapuleuse "Shoah Business" http://www.mondialisme.org/article.... j’avais dénoncé les "phrases ignobles" contenues dans les numéros 1 et 2 de la défunte revue "La Banquise" et évoqué la faiblesse de l’"autocritique" de Gilles Dauvé et Serge Quadrupani dans un livre intitulé "Libertaires et ultragauches face au négationnisme" et dans un article de Gilles Dauvé paru en 1999 : "Le fichisme ne passera pas". Un lecteur britannique "ultragauche" m’ayant exprimé son incompréhension face à cette "polémique franco-française" et son grand respect pour les capacités théoriques de Gilles Dauvé, j’ai essayé d’expliquer plus en détail dans le texte qui suit pourquoi il serait temps que les Banquisards fassent un bilan politique sérieux de leurs élucubrations sur la "question juive" et le sionisme s’ils veulent ne plus être victimes de calomnies injustes. (Y.C.)

Puisque l’expression « phrases ignobles » semble excessive à certains admirateurs de Gilles Dauvé (alias Jean Barrot), voici ce qu’écrivait La Banquise n°2 dans un article intitulé « Y a-t-il une question juive ? » qui se trouve sur le site http://troploin0.free.fr/biblio/que...

« Dans Nuit et Brouillard, Alain Resnais, utilisant des documents réalisés par les Américains après la libération des camps, montre des monceaux de cadavres remués au bulldozer. Pour l’adolescent occidental moderne, il est pratiquement impossible de ne pas être saisi d’horreur devant de telles images. Était-ce pour me défendre contre cette horreur que j’éprouvai aussitôt le besoin de prendre un peu de recul ? Première objection : en remuant avec de gros engins à chenilles la terre du cimetière de Bagneux, on obtiendrait des images à peu près aussi horribles. Que prouveraient-elles ? »

Ce qui me frappe dans La Banquise (revue à laquelle participaient Gilles Dauvé et Serge Quadruppani), c’est le peu d’empathie que ce collectif exprime face aux victimes du plus important génocide commis dans l’histoire humaine, du moins dans un espace de temps aussi limité et avec tous les moyens fournis par la technique industrielle moderne. Face à l’horreur qui le saisit, notre auteur « ultragauche » a besoin « de prendre un peu de recul ». Et où ce « recul » (un terme fort bien choisi en l’occurrence...) le mène-t-il ?

Tout d’abord à la comparaison absurde ci-dessus, qui ignore la différence élémentaire entre le fait d’être enterré dans un banal cimetière parisien et celui de se retrouver dans la fosse commune d’un camp d’extermination nazi (on notera que ce passage et cette comparaison figuraient déjà textuellement dans « L’horreur est humaine », article publié dans La Banquise n°1, il ne s’agit donc pas d’une simple « maladresse » de rédaction). Comment peut-on mettre sur le même plan la mort d’individus décédés dans leur lit, de mort naturelle le plus souvent, suite à une maladie, entourés de soins médicaux, et l’assassinat planifié par la famine, la promiscuité, le travail forcé, les fusillades, les tortures, les expérimentations "médicales" et le gaz zyklon B, de millions d’individus ?

Mais le « recul » ne s’arrête pas là. Nos « radicaux » ne comprennent pas non plus l’importance de dénombrer précisément les victimes du génocide. Ils laissent, avec mépris, cette tâche aux historiens (bourgeois, ajouterons-nous). Dans « L’horreur est humaine », ils vont jusqu’à écrire : « Les passions soulevées par la mise en question du nombre des victimes juives du nazisme révèlent un mode de pensée commun aux bourreaux et à leurs contempteurs. » Encore une fine comparaison : bourreaux et « contempteurs » du nazisme partageraient le même « mode de pensée ». On connaît la prochaine étape de ce « raisonnement » (du moins pour les négationnistes et les antisémites, pas pour les ultragauches) : la comparaison entre bourreaux et victimes du génocide hitlérien. Emportée par sa fougue, La Banquise prête aussi à l’historien Poliakov l’idée absurde que le chiffre de six millions de victimes serait « six fois plus horrible qu’un million » ! Sans bien sûr apporter la preuve de cette assertion par la moindre citation.

Et les Banquisards insistent : « Traiter le massacre des Juifs pendant la guerre en consacrant cent pages (un tiers du Drame des Juifs européens, 1964 à des calculs statistiques pour savoir si 1 million 600 000 Juifs ou bien 6 millions sont morts, c’est bien prendre les choses par le petit bout de la lorgnette, continuer Nuremberg en le contestant. Un livre profond et neuf sur ce sujet serait documenté, mais sortirait des faux problèmes de quantification. On a tout dit quand on a montré comment se forma comme un dogme le chiffre pour le moins douteux de six millions. On ne dit rien quand on élabore soi-même des statistiques rivales aussi invérifiables, pour le lecteur non spécialiste, que celles qu’on critique. » (Fin de la citation plus que "douteuse".)

A l’époque, le travail de Raoul Hillberg sur "La Destruction des Juifs d’Europe" était déjà paru en anglais et il fallait être particulièrement borné et ignorant pour réduire ce type de travail, ou celui de Poliakov ou de Klarsfeld dans le même domaine, à un simple goût pour la comptabilité et à une fascination purement technique pour les « statistiques ». Mais, même si le travail de Hillberg n’était pas encore publié en français, on savait déjà beaucoup de choses à l’époque. Il me semble que le fait de trouver secondaire (« petit bout de la lorgnette », « faux problèmes », "chiffre douteux") la quantification du génocide pose plusieurs problèmes graves.

Comment ignorer que tout individu qui croit avoir perdu un ou des proches lors d’une guerre, d’une catastrophe naturelle ou même d’un accident d’avion, a besoin de savoir s’il est vivant ou mort ? Et comment acquérir cette certitude sans mener une enquête approfondie, et, entre autres démarches, compter les morts ? Comment ignorer que la « comptabilisation » des victimes et la vérification font partie des tâches nécessaires à la fois pour les survivants mais aussi pour la justice ? A moins de considérer que toute forme de justice disparaîtra magiquement avec l’avènement de la « communauté humaine », parce que toute forme de criminalité meurtrière aurait disparu elle aussi par miracle, la « comptabilité » des victimes a (hélas !) un bel avenir, même sous le « communisme » que nous souhaitons ! Faute d’informations précises, des centaines de milliers de Juifs ont attendu pendant des années qu’on leur donne la preuve que leurs proches étaient morts. Là encore, le matérialisme vulgaire joue des tours aux pseudo-radicaux. Pour faire son deuil de quelqu’un il faut déjà savoir s’il est mort, et donc il faut comptabiliser et identifier les morts. Ne pas comprendre cela, c’est - au minimum - vivre sur une autre planète où l’empathie est objet de mépris. Or sans empathie, il n’y a pas de solidarité solide, que des calculs ou des raisonnements froids.

L’article de La Banquise contient également plusieurs absurdités et tours de passe-passe peu ragoûtants.

- Obnubilé par ce qu’il appelle l’ « antisémitisme moderne », l’auteur est incapable de nous expliquer les causes de ses formes antérieures, et donc le lien entre passé et présent, lien pourtant essentiel pour un « penseur » qui se dit « marxiste ». L’auteur se réfugie dans des généralités d’une banalité affligeante : « La société capitaliste qui repose sur la concurrence et l’uniformisation a produit cet antisémitisme de concurrence qui, en période d’exacerbation de celle-ci, tend à l’élimination des éléments les moins uniformisés. » Et il se contente de dire à propos des siècles précédents : « Jusqu’à la constitution de l’empire russe en Europe orientale, et jusqu’à la fin de l’empire ottoman en pays musulman, de multiples ethnies et confessions différentes cohabitèrent sans trop de heurts pendant les périodes de paix et de prospérité, tandis qu’aux époques troublées, les minorités étaient évidemment les premières visées par l’agitation. » On admirera le sens de la litote de nos Banquisards : « heurts » et « agitation », voilà des mots bien pudiques et bien neutres pour décrire les persécutions et massacres antijuifs durant des siècles...

- L’article ne nous offre aucune analyse de l’histoire du peuple juif - ou des peuples juifs, car peut-être cette dernière notion serait-elle plus exacte que la première ; l’auteur aborde cette question de façon aussi abstraite que Karl Marx dans "La Question juive" ; il ne s’intéresse pas aux faits sociaux et historiques et se contente de quelques remarques triviales d’ordre linguistique ; il n’essaie même pas de reprendre l’interprétation pseudo-matérialiste du « peuple-classe » - avancée par Abraham Léon - ou de la petite bourgeoisie juive - défendue par Bordiga et ses partisans - qui devaient, selon eux, inéluctablement être éliminés par le Grand Capital allemand.

- Il réduit le nationalisme juif à une simple « manipulation politique » : « Mais il n’est pas possible de ne pas voir que, depuis le XIXe siècle, qui a vu apparaître à la fois l’antisémitisme moderne et le sionisme, la prétendue question juive et les diverses manières de la poser et de poser son existence relèvent de la pure et simple manipulation politique ». Ce qui lui permet de ne pas réfléchir aux problèmes posés par le nationalisme - y compris le nationalisme juif ou israélien - et aux moyens de le combattre efficacement, ici et maintenant.

- Il renvoie dos à dos l’antisémitisme et le « philosémitisme », comme si les effets de l’un et de l’autre étaient en quoi que ce soit comparables !

- Il écrit : « Les manipulateurs ennemis - politiciens sionistes et antisémites - avaient en commun d’invoquer en renfort de leurs manipulations une mythique communauté de destin juive et une étanchéité du judaïsme aux autres cultures qui relevait elle aussi du mythe ». La Banquise met tous les « sionistes » dans le même panier, et ignore sans doute qui était Ber Borochov et ce que représentaient les sionistes de gauche, malgré toutes leurs limites.

- L’auteur prétend que « la question juive était sur le point d’être résolue par l’assimilation pure et simple des citoyens de confession israélite » : on se demande alors comment Hitler a pu aussi facilement persécuter, ficher, déporter puis exterminer une fraction aussi « assimilée » de la population allemande sans susciter de réactions des autres « citoyens » et des autres « confessions » ; de plus, une telle affirmation péremptoire suggère que « l’assimilation » dans la société capitaliste pourrait être - en soi - une chose positive, ce qui est pour le moins contestable pour un « communiste » radical ;

- La Banquise affirme, bien sûr, que l’existence d’Israël nourrit l’antisémitisme : « Conduit par la logique de sa situation et de sa nature belliciste à soutenir partout les pires régimes exploiteurs et terroristes étatiques - Afrique du Sud, Amérique latine - l’Etat d’Israël ne peut que susciter des sentiments anti-israéliens et antisionistes chez les exploités du monde entier, tout en s’acharnant à dénoncer partout (parfois même à juste raison) un antisémitisme qu’il prétend combattre mais dont il a besoin pour survivre ». Comme si l’antisémitisme était né en 1948 et que le génocide avait eu lieu après la création d’Israël !

- Et rien ne sert de tenir des propos ultra-radicaux contre le capitalisme, le colonialisme, l’impérialisme, etc. La Banquise commence par expliquer qu’il n’y a pas de hiérarchie dans l’horreur, puis elle dénonce tous les crimes du colonialisme ou du capitalisme, comme s’ils étaient PLUS importants que ceux du nazisme. Or, à l’époque moderne, on ne peut citer un seul massacre conçu, planifié et appliqué de façon aussi systématique, dans un laps de temps aussi court, pour exterminer une population déterminée. On peut dire que le Grand Bond en avant ou les famines soviétiques étaient du même ordre statistique, mais il n’y avait pas derrière la volonté d’exterminer une catégorie spécifique de la population et elles se sont étendues sur des périodes plus longues, à travers des mécanismes totalement différents.

- Il est difficile de prendre au sérieux l’explication avancée a posteriori par certains partisans des Banquisards : en démasquant les prétendus mensonges sur le nombre de Juifs tués dans les camps, on aurait fait prendre conscience aux prolétaires que la bourgeoisie démocratique leur mentait, et ils se seraient donc révoltés, comprenant qu’ils avaient été dupés. Tout d’abord, il suffisait de se demander, dès le début de cette polémique, pourquoi nos ultrarévolutionnaires s’acharnaient sur ce prétendu mensonge-là, alors que les cours d’histoire qu’ingurgitent les écoliers français regorgent de véritables mensonges, d’authentiques omissions criminelles. La réponse est simple : certains de ces pseudo-radicaux (dont certainement Pierre Guillaume, vu son évolution ultérieure) avaient des préjugés antisémites mais n’osaient pas les avouer à leurs petits camarades qu’ils entraînaient dans leur prétendue "démystification". Mais surtout, la fumisterie "radicale" est ailleurs : les prolétaires ont tous les jours l’occasion de vérifier qu’on leur ment, que ce soit au boulot, ou à la télé. Il faut vraiment ne rien comprendre au fonctionnement du capitalisme pour croire qu’il ne tient que par le mensonge officiel, et qu’il suffirait de démasquer ce mensonge pour provoquer une prise de conscience révolutionnaire. Le réformisme ou les idéologies réactionnaires sont partagées par des millions de prolétaires en toute connaissance de cause.

- La Banquise présente le communisme comme un système qui pourrait avoir des points communs avec la pureté originelle supposée du stade de l’ « homo sapiens » ; cette hypothèse rappelle étonnamment la conception totalitaire de l’« homme nouveau » chère à Staline et Che Guevara ou celle de la « page blanche » chère à Mao (« l’homme communiste se retournera sur son passé (s’il en éprouve parfois le besoin) » et « il se sentira probablement plus proche de cet Homo sapiens avec lequel il aura renoué pour le réaliser enfin »).

- L’idée que la "question juive" disparaîtra parce que l’humanité aura des questions économiques et sociales plus importantes à traiter illustre toute la prétention de la prose et la vanité de la pose « radicales » : « les communistes n’ont pas à étudier gravement la question de l’inflation, parce qu’ils œuvrent à la destruction pure et simple de l’économie et à la fin de son règne réifiant sur les hommes, de même, parce qu’ils travaillent à l’avènement de la communauté humaine, n’ont-ils pas à se pencher sur la question juive parce qu’ils dénoncent en son existence même une survivance de la préhistoire de l’humanité ». On remarquera la profondeur de la pensée banquisarde : comparer une question tout à fait secondaire pour l’humanité comme celle de l’inflation, avec celle des identités nationales ou « ethniques » qui provoquent des conflits et guerres depuis des siècles, c’est vraiment se moquer du monde !

De plus cela induit l’idée naïve que toutes les différences humaines pourraient disparaître magiquement à la suite d’un processus révolutionnaire, et, pis (si c’est encore possible), que seuls les « communistes » seraient capables de savoir ce qui est important ou pas pour les êtres humains !

Si l’on veut « prouver » que les différences entre les êtres humains n’existent pas, il suffit de nier leur existence comme La Banquise le fait au nom du « communisme » dans sa conclusion : « Mais, malgré son cortège d’atrocités, malgré sa splendeur et sa misère, la question juive est typiquement l’une de ces questions qui disparaîtront d’elles-mêmes et qui donc, littéralement, ne se posent pas. »

Dans « L’horreur est humaine », paru dans La Banquise n°1 (http://troploino.free.fr/biblio/humaine) on trouve encore plusieurs inepties, et propos aussi absurdes que les précédents.

Tout d’abord l’auteur fait semblant de croire que les Juifs pensent appartenir à une même « race » et évidemment notre Don Quichotte démontre avec brio que les races n’existent pas ! Les sionistes et les Juifs en général ne parlent pas de race mais de peuple, de nation, ce qui n’est pas du tout pareil. Mais cela évite aux Banquisards de se demander s’il existait un peuple juif (ou des peuples juifs), une nation en formation, etc. Puis ils comparent « le juif déporté par les nazis et le prolétaire déraciné par l’accumulation primitive » qui tous deux « ont en commun d’éprouver dans leur chair le déchirement des liens affectifs et sociaux, la perte des rôles, qui donnaient à leur vie son contenu ». En clair, La Banquise compare le fait d’aller trimer à l’usine et celui de finir en cendres dans un four crématoire...

Ce mode de pensée rappelle curieusement celui de certains psychologues ou féministes actuels qui, eux aussi, suppriment toutes les différences (dans ce cas, entre les actes voire les pensées des mâles) pour mieux vendre leur camelote idéologique : ainsi une plaisanterie machiste, un regard concupiscent ou libidineux est mis sur le même plan qu’un viol ou un harcèlement systématique au travail, et rangé dans la catégorie des « violences » sévèrement punissables par la loi. Même aplatissement de la réalité, même incapacité à définir des nuances, même « pensée » simpliste - au service de causes différentes, bien sûr.

Dans le même article calamiteux, La Banquise compare camps nazis et supermarchés, cartes de la Sécurité sociale et numéros tatoués sur la peau des déportés. « Mis en fiches et cartes par la Sécurité sociale et tous les organismes étatiques et para-étatiques, l’homme moderne juge particulièrement horrible et barbare le numéro tatoué sur le bras des déportés. »

Ainsi, pour nos « radicaux », il n’existe pas de différence fondamentale entre une entreprise d’extermination industrielle de masse et une entreprise de distribution de biens de consommation !

Quand on voit des « théoriciens » comme ceux de La Banquise faire preuve d’autant de confusion intellectuelle, d’absence d’empathie, de déni des réalités les plus élémentaires ; quand on les voit aligner doctement, dans un jargon « marxiste », des comparaisons absurdes ; et surtout quand on sait qu’ils continuent à défendre mordicus, trente ans plus tard, leurs élucubrations, comment s’étonner que fleurissent régulièrement sur Internet et dans les manifestations des amalgames écœurants entre sionisme et nazisme, des slogans du type « Sharon=SS », et des comparaisons entre l’écrasement de Jenine par l’armée israélienne et celui du ghetto de Varsovie par l’armée allemande ? Si certains « marxistes » ne le savaient peut-être pas il y a trente ans, on sait parfaitement aujourd’hui où mènent ces comparaisons et ces raisonnements absurdes : à établir des passerelles théoriques entre extrême (ou ultra) gauche et extrême droite antisémite, passerelles que des individus faibles d’esprit et mus par des pulsions mortifères empruntent dans un sens ou dans l’autre. Il serait temps que les Banquisards et leurs disciples ou admirateurs plus jeunes s’en rendent compte et fassent un bilan politique et théorique honnête et sérieux de leurs écrits. Cela leur (et nous) rendrait un grand service et éviterait la réapparition récurrente de calomnies à leur encontre.

(Novembre 2007)

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