Suite à ma protestation contre la publication sur un site xénophobe de mon nom et de celui du site mondialisme.org au bas de l’appel pour l’apéritif saucisson pinard du 18 juin, que j’avais de plus dénoncé dans un article du 15 juin intitulé "Les 22 salopards de l’apéro saucisson pinard", le site en question s’est permis d’inventer (ce qu’ils ont appelé ensuite "modifier"...) le texte d’un mail que je leur aurais envoyé en y joignant mon nom et mon adresse comme suit
"Je suis assez surpris de trouver mon nom et celui du site mondialisme ? il doit certainement s’agir d’une erreur ?"
Le tout accompagné de mes téléphones et mails non communiqués à ce site. Non seulement le texte a été totalement changé mais l’email n’est pas celui que j’ai utilisé pour leur écrire. Les faussaires de ce site ont ensuite ajouté le commentaire suivant
"Nous allons effectuer les vérifications nécessaires pour voir si il ne s’agit pas d’une erreur des organisateurs de l’Apéro Républicain Au fait ; Vous êtes plus saucisson ou pinard ?"
Après avoir constaté que ces faussaires xénophobes ne savent même pas écrire le français ("si il" est fautif, ce qui est comique pour des défenseurs de la langue et de la culture françaises*) , je leur ai donc répondu :
"Non seulement vous avez changé le texte de mon message mais en plus vous donnez mon adresse et mes téléphones qui ne figurent pas dans mon mail. Je ne m’étonne pas de ces méthodes policières et staliniennes, même si mon adresse apparaît sur toutes les publications de Ni patrie ni frontières et n’est donc nullement un secret. De plus vous m’avez envoyé 140* spams depuis hier soir, une coïncidence sans doute ? et j’ai reçu des mails orduriers de vos amis que je ne reproduirai pas ici.
Vous n’avez aucune vérification à faire pour la bonne raison que votre site est le premier nommé dans l’article « Les 22 salopards de l’apéro saucisson pinard » que vous avez également censuré"
Nous allons donc voir s’ils auront le courage de publier cette réponse ou la falsifieront une seconde fois.
Yves Coleman
Ni patrie ni frontières
* Désormais 300 spams à 12h49 le 15 septembre 2010.
** Sur un autre site d’extrême droite (et encore je suis poli, mes camarades libertaires diraient plutôt "facho") que je ne citerai pas mais qui se fixe pour but de défendre la "nation" on peut lire à propos de cet ajout intempestif la perle suivante : "je l’avais rajouter (sic) dans la liste des organisations de suite ( resic ) à l’article mis en ligne sur son site. Pas content le monsieur..." .
C’est toujours marrant de vérifier que les plus violents défenseurs de la nation et de la langue françaises ne connaissent ni la grammaire ni la syntaxe d’une langue dont ils exigent que les étrangers la "maîtrisent" parfaitement.
Un certain J.C. il y a 2000 ans avait parlé de paille et de poutre dans l’oeil de son voisin.
Faut croire que la bêtise xénophobe existait déjà......
PS. du 17 septembre 2010.
Le site d’extrême droite susmentionné a apparemment retiré ma signature mais continue à mentionner mon nom à propos d’un imaginaire "débat sur la liberté d’expression" auquel je n’ai évidemment pas participé et qui renvoie à une page... sur l’apéro républicain. La bouffonerie continue.
Comme disait leur maître en désinformation Goebbels : "Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose."
Ses disciples appliquent à la lettre ses leçons.
P.S. du 18 septembre 2010 :
La CNIL et les 2 hébergeurs des deux blogs en question (*) situés bien sûr aux Etats-Unis (il est amusant de constater que les plus virulents dénonciateurs de l’américanisation de la culture gauloise sont les premiers à aller se réfugier dans les bras de la perfide Amérique pour bénéficier de la liberté d’expression dont jouissent aux Etats-Unis les fascistes, les néo-nazis et les négationnistes) ont été avisés, captures d’écran à l’appui, de ces méthodes.
(*) Je ne donne pas leurs noms ni leurs références Internet car il me semble inutile de faire de la publicité à des défenseurs de la xénophobie et du racisme, mais je peux les communiquer à toute personne qui m’en fera la demande, à des fins de vérification.